Organisation

 

Organigramme 2023 du Rap

 

Les organes de fonctionnement de l’action spécifique RAP sont les suivants :

  • Le Conseil de pilotage ;
  • Le Directeur ;
  • Le responsable technique

Le conseil de pilotage

Le Conseil de pilotage de l’AS RAP regroupe autour de mêmes objectifs les acteurs français concernés par les problématiques du risque sismique et des mouvements forts.

Le Conseil de pilotage se réunit au moins une fois par an. Il est composé de représentants désignés : un représentant pour chacun des participants à l’Action spécifique ou pour chaque organisme opérateur des stations. Le Conseil inclut également un représentant élu des ITA du Rap. Le Conseil comprend également le Directeur de l’AS RAP, le responsable technique de l’AS RAP, un représentant du MTE, le Directeur (ou son représentant) du consortium Epos-France.

Le Conseil de pilotage de l’AS RAP débat de toute question concernant la vie et les activités du Rap. Il a notamment pour fonction de :

  • Décider des orientations scientifiques et stratégiques du Rap, et de la politique de déploiement du réseau ;
  • Étudier les demandes d’intégration de nouvelles stations proposées par les participants ;
  • Veiller, en s’entourant des compétences nécessaires, à ce que les choix techniques faits dans le cadre du Rap soient en accord avec ses objectifs ;
  • Veiller, en s’entourant des compétences nécessaires, à la qualité et à la disponibilité des données acquises ;
  • Soutenir le Directeur de l’AS RAP dans la mise en œuvre du programme d’actions défini avec le MTES ; Préparer et valider ce programme et son budget prévisionnel ;
  • Encourager les recherches faisant usage des données collectées par les stations de l’AS RAP ;
  • Initier ou assurer la relation avec les collaborateurs du Rap (autres Actions de Epos-France : AS RLBP, ATS ; collaborateurs privés, collaborateurs européens).

Le directeur de l’AS RAP

Il est élu (renouvelable) par le Conseil de pilotage de l’AS RAP pour trois ans. Il travaille en collaboration étroite avec le Directeur du consortium Epos-France.
Le Directeur de l’AS RAP est responsable de la mise en œuvre des décisions du Conseil et de l’utilisation des moyens alloués à l’AS RAP pour le développement et le fonctionnement de ses stations, ainsi que pour la gestion et la distribution des données.

Pour l’assister dans son travail courant, le Directeur de l’AS RAP peut s’entourer d’un groupe de pilotage restreint, dont la constitution est soumise pour approbation au Conseil.

Le responsable technique du Rap est désigné par le Directeur de l’AS RAP pour l’assister dans son travail courant, avec l’approbation du Conseil.

Emeline Maufroy, sismologue à ISTerre, est actuellement directrice du Rap. Elle a remplacé Philippe Gueguen en janvier 2018.

Le responsable technique de l’AS RAP

Il est chargé notamment de :

  • coordonner la mise en œuvre technique des objectifs du Rap, et s’assurer de la faisabilité technique des actions proposées et de l’intégration de nouvelles stations ;
  • assister le Directeur de l’AS RAP dans la rédaction du bilan technique annuel et dans la préparation du programme technique ;
  • apporter son expertise sur l’installation, la maintenance et la modernisation des stations du Rap, à la demande des opérateurs des stations du Rap ;
  • veiller, en collaboration étroite avec le Centre de données Epos-France, à la collecte, gestion, distribution, qualité et disponibilité des données et métadonnées du Rap ;
  • apporter son expertise au Directeur de l’AS RAP sur la faisabilité technique des propositions de développement et d’enrichissement des données et métadonnées du Rap.

Mickaël Langlais, ingénieur à ISTerre, est actuellement Responsable technique du Rap.

Participants à l’AS RAP

L’Action spécifique RAP est portée par les Membres suivants du Consortium Epos-France, sous la tutelle des ministères de la transition écologique (MTE) et de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (MESR) :

  • Bureau des Recherches Géologiques et Minières (BRGM) ;
  • Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA) ;
  • Centre National de la Recherche Scientifique – Institut National des Sciences de l’Univers (CNRS-Insu) ;
  • Université Gustave Eiffel (auparavant IFSTTAR) ;[EM1]
  • Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP) ;
  • Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ;
  • Université de Bretagne Occidentale (UBO) ;
  • Université Clermont Auvergne (UCA) et l’Observatoire de Physique du Globe de Clermont-Ferrand (OPGC) ;
  • Université Grenoble Alpes (UGA) et l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble (Osug) ;
  • Université de Nantes (UN) et l’Observatoire des Sciences de l’Univers de Nantes Atlantique (Osuna) ;
  • Université de Strasbourg (Unistra), l’École et Observatoire des Sciences de la Terre (EOST) et le Bureau Central Sismologique Français (BCSF) ;
  • Université de Nice Sophia Antipolis (UNS) et l’Observatoire de la Côte d’Azur (OCA) ;
  • Université Paul Sabatier de Toulouse (UPS) et l’Observatoire Midi-Pyrénées (OMP)  ;
  • Cerema.